Mélange de saveurs sucrées-salées, de numérique et de vintage, de voix suaves et robotiques, la palette sonore d’Alb se tend entre électro-pop, nappes mélancoliques et envolées taillées pour le dancefloor.
Des premiers synthés virtuels aux machines analogiques vintage, toutes soigneusement midifiées et en parfait état de marche, Clément Daquin – fondateur de ALB, en a exploré tous les recoins ; un terrain de jeu et d’expérimentations sonores qui ont façonné ses productions durant les quinze dernières années.
Sa découverte très récemment de l’univers décomplexé de MASCHINE agit tel un bain révélateur et marque un nouveau départ, allant de pair avec un désir profond de changer d’environnement de création.
Lors des dernières Native Sessions dans le cadre de la Paris Electronic Week à la Gaîté Lyrique, Alb nous expliquait comment le workflow intuitif de MASCHINE a favorisé le renouvellement de son processus créatif, à travers la re-création en direct de sa dernière composition – un avant-goût, en exclusivité, des saveurs que l’on retrouvera sur son prochain album.
Des générateurs de formes d’ondes permettant d’ajuster ses instruments d’un tour de potentiomètre, aux fonctions Chords, Keyboard ou Sampling, Clément assure gagner en temps et en spontanéité comme jamais quand à une époque pas si lointaine, il aurait “programmé la 808, fait une acquisition en pistes séparées, enregistré des synthés…”.
Parallèlement, Clément Daquin compose régulièrement pour l’image. Des projets pour lesquels il utilise également l’environnement de sons KOMPLETE ainsi que les Expansions, véritables accélérateurs dans son processus de création, pour les musiques de pub notamment.